Mais plus que la tristesse et la colère, ce que je souhaiterai retenir c’est cette union que nous avons créé. Une union nationale, mondiale presque, pour protester contre cet acte de violence et rendre hommage aux victimes ainsi qu’à leurs proches. Hier à Strasbourg j’ai vu se rassembler des gens de tous âges, de toutes confessions et de toutes nationalités. Ils criaient et chantaient tous ensemble. Il est dommage qu’il faille un drame pour qu’il en soit ainsi.
Messieurs Dames, restons libres et insouciants. Restons unis.
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